Kirghizistan
Kirghizistan : entre steppes et montagnes

Dates & Prix

Prix : 5350 euros par personne
Supplément single: 350 euros

du 30 Juin 2024 au 14 Juil 2024
Durée: 15 jours / 14 nuits

Votre guide

Agent de la Nature et des Forêts de métier, Michel est un excellent ornithologue, il est aussi très bon photographe naturaliste. Outre sa passion première, l’ornithologie, il s’intéresse à la nature en général. L’observation des mammifères l’a guidé dans de nombreux pays, la botanique a toujours une place importante.
Tous les milieux l’intéressent, des hautes montagnes aux déserts, des eaux douces aux eaux océaniques.
Ses passions l’ont amené à beaucoup voyager : il a parcouru tous les continents, de nombreuses îles ainsi que  les mers arctiques.
C’est un guide efficace, serviable et infatigable, toujours à la recherche d’espèces intéressantes, qu’il aime faire découvrir aux personnes qui l’accompagnent.

Journalier

Jour 1 : 
Arrivée à Osh le matin (tous les vols arrivent entre 4h50 et 5h50 du matin). Après un petit déjeuner en ville, nous partons pour l’ouest. Nous passons la journée dans une superbe gorge sur les contreforts de la chaine du Turkestan. La vallée est un haut lieu de pèlerinage soufi mais également le domicile du Rougequeue à calotte blanche, de l’Arrenga siffleur, du Griffon himalayen et du Martinet à ventre blanc. Nous continuons ensuite notre ascension vers un lac saisonnier autour duquel vit le Roselin de Blyth et d’autres espèces montagnardes nichant dans des genévriers et des éboulis. N’oublions pas les Aigles royaux et le Gypaète barbu. 
Notre étape du soir se trouve à Kyzyl-Kiya, où nous tâcherons d’arriver tôt pour pouvoir récupérer du vol. 
Nuit à l’hôtel

Jour 2 : 
Nous partons aujourd’hui un peu plus vers l’ouest, dans des régions peu visitées ni explorées. Notre objectif principal est une forêt perdue, au milieu des mauvaises terres, sèches et inhospitalières. Dans cette oasis vivent une foule d’espèces dont le Bruant de Stewart, le Gros-bec à ailes blanches et le Loriot indien. Nous y avons même déjà observé en 2023 une paire de Tchitrec de paradis. Nous ne le promettons pas, nous sommes aux limites de son aire. Dans les environs, nous cherchons également le Traquet variable et le Bruant à cou gris. 
Nous repartons ensuite vers l’est, en direction d’une plantation de Saxaouls avec l’espoir d’y observer le Roselin de Lichtenstein. De là, nous remontons le lit d’une rivière asséchée en direction d’un canyon emprunté par des bergers dans leur transhumance. En chemin nous cherchons la Fauvette babillarde de Hume (sous-espèce althaea) et la Fauvette orphéane. Dans les gorges, nous devrions trouver la Sittelle des rochers, le Bruant de Stewart, des Perdrix Chukar, le Monticole bleu ainsi que la rare Iranie à gorge blanche. 
Retour à l’hôtel de Kyzyl-Kiya pour une nouvelle nuit de repos. 

Jour 3 : 
Fin de l’excursion à l’ouest : cap vers l’orient ! Notre première étape est un autre canyon majestueux. Une nouvelle chance devrait nous être donné pour voir l’Iranie à gorge blanche et les cinq espèces de vautours présentes en Asie centrale : Gypaète barbu, Vautours moine, fauve, himalayen et égyptien. Sont également présents : le Guêpier d’Europe, l’Hirondelle rousseline et la sous-espèce bactrianus du Moineau domestique. 
Nous entamons ensuite un long transfert de cinq heures vers le village d’Arslanbob niché au cœur de la plus grande forêt naturelle de noyers du monde. Une étape ornithologique incontournable mais aussi culturelle, car ce village est une place-forte de la culture ouzbèke au Kirghizstan. Nous y séjournons chez l’habitant nous offrant ainsi le privilège d’observer la culture locale (et sa gastronomie !). 
En fonction du temps qui nous restera (et de l’état de fatigue du groupe), nous pouvons effectuer une première excursion en forêt à la recherche du Grimpereau de l'Himalaya, de la sous-espèce humii du Gros-bec casse-noyaux et de la Mésange à nuque rousse. 
Nuit dans une guest-house, chez l’habitant. 

Jour 4 : 
Nous limitons autant que possible la conduite aujourd’hui pour nous dégourdir un peu les mollets (sans en faire trop non plus). Notre cible du jour est l’Énicure nain. Nous ne le promettons pas mais des couples y nichent depuis plusieurs années. Les lieux sont également propices pour trouver l’Arrenga siffleur et le très secret Tichodrome échelette. 
Nous partons ensuite en montagne, sous les imposantes falaises du Babash Ata (4428m) pour observer des espèces de moyenne montagnes, notamment le Rougequeue à tête bleue, le Roselin de Blyth et le Gros-bec à l’ailes blanches. Plusieurs itinéraires s’offrent à nous en fonction de la forme physique du groupe. Aucun de ces itinéraires ne demande d’effort physique trop intense (max 250m de dénivelé, 3 heures de marche). 
Nous passons la fin de journée dans la forêt, à chercher le Grimpereau de l'Himalaya, les Mésanges azurée et à nuque rousse et la sous-espèce Ferghanensis de la Mésange charbonnière. Nous devrions aussi voir le Pic à ailes blanches et avec beaucoup de chance la chouette hulotte (sous-espèces harmsi). 
Deuxième nuit à Arslanbob. 

Jour 5 :
L’objectif du jour est de rejoindre la ville de Kazarman via le col de Kaldamo (2992m). Notre premier arrêt se trouve dans la forêt de noyers de Kara Alma où nous pourrons compléter nos observations de la veille mais aussi chercher le Pigeon colombin (tianshanica). Nous quittons ensuite la chaude vallée de Ferghana pour les montagnes.  
Le col nous offre notre première chance d’observer la Niverolle alpine et le Bruant fou. Nous finissons la journée dans la forêt riparienne de Kazarman à la recherche du Rémiz couronné, la Rousserolle isabelle, le Gorgebleue à miroir et le Roselin cramoisi. 
Nuit dans un hôtel à Kazarman. 
*Note : un tunnel est actuellement en construction pour relier Jalalabad à Kazarman. Le percement s’est achevé à l’été 2023. La route est officiellement supposée ouvrir à la fin de l’année. Si c’est chose faite, nous l’emprunterons pour détendre la journée est profiter davantage des forêts de genévriers de moyenne altitude. 

Jour 6 :
La cible de jour est l’un des cœurs du pastoralisme kirghiz : le lac de Song-Kul (3016m). Nous commençons par suivre les gorges des rivières Naryn et Kökömeren. En chemin, nous nous arrêtons aux pieds de somptueuses falaises où nichent les cinq espèces de vautours du pays (l’Egyptien peut être un brin taquin, mais nous devrions déjà l’avoir vu) ainsi qu’une paire de Faucons crécerellettes. C’est également un bon endroit où observer le Moineau soulcie et le Bruant de Stewart, si nous les avons manqués précédemment. 
Notre itinéraire passe ensuite par le col de Kara Keche (3384m), versant dans l’immense cuvette de Song-Kul. En chemin, nous prendrons un petit moment pour observer l’impressionnante mine de charbon de Kara-Keche. Ce n’est pas non plus un mauvais endroit pour observer l’Orite de Sophie et le Pigeon des rochers. 
Pour rejoindre le camp de yourtes où nous passerons la nuit, nous devons contourner le lac par le sud où niche une petite population de Pluviers de Mongolie et une gigantesque colonie de Grèbes huppé et à cou noir. Quelques paires d’esclavons nichent également dans les parages. 
Nous dormons cette nuit dans un camp de yourtes, notre nuitée la plus rustique du voyage mais une occasion idéale pour découvrir un peu de la culture nomade kirghize. 

Jour 7 : 
Le camp de yourtes est situé près d’un large lagon où nichent des centaines d’oiseaux d’eau, des Cigognes noires et le superbe Faucon de Barbarie (sous-espèce du Faucon pèlerin). Nous commençons notre journée par explorer les environs à pied. 
Puis, si nous avons manqué le Pluvier de Mongolie la veille, nous ferons un petit détour par le sud du lac avant de franchir le col de Kalmak Ashuu (3447m) où nous pouvons observer la Niverolle alpine, des yaks et le Pipit spioncelle. C’est aussi notre première chance d’observer les Accenteurs brun et à gorge noire. Avec de la chance, nous pourrions entendre le Tétraogalle de l'Himalaya, mais l’espèce est chassée implacablement, et donc farouche.
Nous passons ensuite quelques temps dans les mauvaises terres autour de la ville de Kochkor afin de trouver le Ganga unibande et le Syrrhapte paradoxal. Si nous en avons le temps, nous ferons un détour par une source dans les contreforts pour chercher Bruant à nuque rousse, le Roselin de Mongolie, le Monticole de roche et la championne du camouflage : la Chevêche d'Athéna (sous espèce bactriana).  
Nous nous retirons ensuite dans un camp de yourtes sur les rives du lac Issyk-Kul, bien plus confortable que celui de la veille. Baignade autorisée. Le canyon pour y accéder est spectaculaire. 

Jour 8 : 
Nous remontons aujourd’hui le canyon de la veille en prenant soin d’observer l’Hirondelle pâle et l’Hirondelle de rivage ainsi que la Perdrix choukar, l’Hypolaïs rama et la sous-espèce phoenicuroides du Rougequeue noir. 
Nous nous rendons ensuite dans la première réserve ornithologique du pays, Ak-Bulun. Nous devrions y trouver outre des limicoles et oiseaux d’eau, les Alouettes de Heine, de Swinhoe et calandrelle, ainsi que la Bergeronnette printanière. 
Nous remontons ensuite une vallée pour trouver le célèbre Bec d’ibis Tibétain, le Cincle plongeur et celui de Pallas. Nous revenons enfin au camp de yourtes via des marais d’altitude, au pied des hautes montagnes (4600m et plus). 
Deuxième nuit au camp de yourtes sur les rives d’Issyk Kul. 

Jour 9 : 
Aujourd’hui, nous prenons de la hauteur. Nous partons tôt pour attendre rapidement le plateau d’Arabel qui avoisine les 4000m d’altitude à la recherche d’espèces de haute montagne. Nous cherchons donc l’Accenteur brun et celui de l’Himalaya, le Roselin de Hodgson et le Rougequeue de Güldenstädt. Nous devrions entendre le Tétraogalle de l'Himalaya et observer des Aigles royaux.
Pour espérer observer le Roselin de Brandt et entendre le Roselin à front-rouge, il nous faudra peut-être marcher (lentement) pendant deux heures. Note : nous évoluerons autour de 3900m d’altitude où tout effort peut s’avérer épuisant. Cette randonnée est optionnelle. 
Nous passons la journée à explorer le paysage exceptionnelle des hauts plateaux puis nous redescendons la vallée de Barskoon pour nous rendre à Karakol ou Jeti-Oguz (en fonction de la taille du groupe) où nous passerons les trois prochaines nuits. 
Nuit à l’hôtel à Karakol ou Jeti-Oguz

Jour 10 : 
Nous partons aujourd’hui à la recherche des espèces de moyenne montagne que nous n’aurons pas encore vues en explorant la superbe vallée de Jeti-Oguz. Une promenade de 3 kilomètres (50m de dénivelé maximum) nous donne l’opportunité d’observer le Roselin à dos rouge et le Roselin cramoisi, la superbe Orite de Sophie, le Rossignol à gorge rubis et le Casse-noix moucheté. Pouillots griséole, de Hume et verdâtre sont également présents, ainsi que la Chauvette grisette. 
Pour les courageux, nous passerons par un camp de yourtes pour gouter la boisson nationale : le kumys, lait de jument légèrement fermenté. 
L’après-midi, nous remontons (en voiture) la vallée à la recherche de Mésanges Songar (sous-espèce de la Mésange boréale) et noire. Le bout de la route nous offre une vue spectaculaire sur les montagnes et notamment le pic Oguz-Bashi, anciennement pic Boris Yeltsin (5168m).  
Retour à l’hôtel pour la nuit. 

Jour 11 : 
Nous partons aujourd’hui explorer l’extrémité orientale du Kirghizstan. Nous nous arrêtons d’abord dans une autre vallée forestière pour chercher le Bruant à calotte blanche. Dans le cas – fort peu probable – où nous n’aurions pas encore observé le Bec d’ibis Tibétain, nous le trouverons à ici. Après cette première halte, nous franchissons un col de moyenne altitude pour explorer les marais de haute et basse altitude de la vallée de Tyup. Parmi les espèces susceptibles d’être présentes : le Pipit de Richard, la Locustelle de Pallas et celle tachetée, et le Râle des genêts. Et avec beaucoup de chances, nous pourrions même avoir quelques Grues demoiselles et cendrées près du monument de San-Tash, un mémorial datant du moyen-âge et commémorant une bataille sanglante. 
Ce soir, nous dinons à Karakol, qui possède un beau patrimoine architectural remontant à l’époque où la ville était un avant-poste cosaque de l’Empire russe. On y trouve une belle église orthodoxe russe et une surprenante mosquée doungane (chinois musulmans exilés dans la région au 19e siècle). 
Retour à l’hôtel pour la nuit.

Jour 12 :
Aujourd’hui, nous nous rendons à Bishkek, la capitale du Kirghizstan. En chemin, nous nous arrêtons sur les rives du lac Issyk-Kul, sur les lieux d’une micro-réserve ornithologique communautaire et ses colonies de Vanneau huppé et Pluvier à collier interrompu. Y nichent également l’Avocette élégante, la Bergeronnette citrine et le Harle huppé, en petite quantité pour ce dernier. Avec un peu de chance et suivant le niveau des eaux du lac, nous pourrions voir l’adorable Panure à moustaches. 
Nous nous installons ensuite confortablement pour affronter les 6 heures de route nous menant à Bishkek. Le soir, une fois les bagages posés à l’hôtel, nous déambulons un moment dans le centre-ville pour découvrir l’architecture soviétique bishkékoise avant de nous attabler au restaurant. 
Nuit à l’hôtel à Bishkek. 

Jour 13 :
Pour conclure ce tour du Kirghizstan, nous effectuons une boucle dans les paysages de steppes agricoles de la vallée de Chuy. Notre journée commence par une série d’étangs et de lacs où nous pouvons observer la Rousserolle Stentor et la Bouscarle de Cetti, la Sterne pierregarin et la Sterne naine ainsi que la Guifette noire, l’échasse blanche, le Cormoran pygmée, le Loriot indien, le Blongios nain et avec de la chance entendre le Butor étoilé. La Glaréole à collier niche parfois à proximité. Enfin, une paire de Pygargues à queue blanche a niché avec succès près de ces étangs en 2023. Nous espérons une réédition en 2024. 
Ensuite, nous nous dirigerons vers l’ouest de la vallée, près de la frontière kazakhe où nous cherchons l’Alouette Calandre, l’épervier Shikra, le Guêpier d’Europe et le Rollier, l’Ibis falcinelle, le Faisan de Colchide (sous-espèce mongolicus), le Moineau espagnol, la Pie-grièche à poitrine rose, la Buse féroce et la Tourterelle orientale. Avec un peu de chance, nous pourrons observons le Circaète Jean-le-Blanc. La zone est également un lieu de nidification de l’Outarde canepetière. Vers la fin d’après-midi, nous nous arrêtons devant quelques champs pour écouter et espérer l’apercevoir dans les hautes herbes. Elle s’active généralement à partir de 17h, ce qui signifie un retour tardif à Bishkek. 
Nuit à l’hôtel à Bishkek.

Jour 14 :

Départ pour l’Europe. 
Vols retour jusqu'à Bruxelles

Notes importantes : 
1) Les participants sont responsables de leur propre santé. Nous les invitons à partager leurs numéros d’assurance avec le ou la guide pour qu’il ou elle puisse agir promptement en cas de problème. Nous faisons notre possible pour être à une distance raisonnable d’un hôpital mais les participants doivent être pleinement conscients que le Kirghizstan souffre de nombreuses carences en termes d’infrastructures notamment médiales, que notre itinéraire nous fait traverser des zones reculées, et que les routes sont parfois en piteux état ce qui peut considérablement rallonger les temps de trajet.  

2) Nous tâchons de rendre ce voyage le plus confortable possible. Cependant, certains éléments sont hors de notre contrôle : certaines routes que nous devons emprunter sont en piteux état. De plus, les distances peuvent paraître courtes sur une carte. Elles sont en réalité longues à parcourir. Bien que de plus en plus confortable, le Kirghizstan demeure une destination d’aventure. 

3) Nous ne travaillons qu’avec des chauffeurs expérimentés et surs, mais les standards de conduite qui prévalent au Kirghizstan peuvent parfois être surprenants pour des voyageurs occidentaux. 

4)Cet itinéraire traverse des zones de hautes montagnes où le moindre effort peut s’avérer exténuant. Le risque de mal des montagnes est toujours présent et peut affecter tout le monde, y compris des personnes en grande forme physique. Il n’existe aucun moyen de s’en prémunir totalement et les participants doivent en être pleinement conscients. Si la haute altitude venait à s’avérer un problème, nous adapterions le programme en conséquence. 

5) Plusieurs promenades sont inclues dans ce voyage, toutes à plus de 1500m d’altitude et durant au moins deux heures. Elles peuvent être difficiles pour certaines personnes n’ayant aucune condition physique, principalement du fait de l’altitude. Elles sont optionnelles et des trajets alternatifs, accessibles en voiture sont possibles mais les chances d’observer certaines espèces désirables s’en trouvent limitées. 

6) Les températures peuvent varier considérablement le long de cet itinéraire. Il fait très chaud dans les vallées de Ferghana et de Chuy. Les nuits à Song-Kul peuvent être quant-à-elles froides. Nous demandons donc aux participants de s’équiper de façon adéquate : bonnes chaussures, protections contre le soleil et la pluie, des vêtement chauds pour la montagne (dont des gants, bonnets et pantalons longs), et des vêtements adaptés aux fortes chaleurs. Nous fournirons ce qui est requis pour la nuit.

7)Bien que cet itinéraire soit définitif, nous nous réservons le droit d’effectuer des changements en fonction des conditions météorologiques. Cela peut signifier avancer, reculer voire annuler nos visites dans les zones de haut-montagne.

8) Enfin, bien que la plupart des logements prévus dans cet itinéraire sont confortables, les camps de yourtes ne sont équipés que de toilettes en extérieur. De plus, certains logements chez l’habitant peuvent requérir que les participants partagent des chambres.

9) Bien qu’ouvert, le Kirghizstan reste un pays conservateur. Certains traits de la vie quotidienne peuvent surprendre, notamment lorsque nous logeons chez l’habitant. Nous invitons nos participants à être conscients que ce type de logement est parfois le seul disponible, que le tourisme chez l’habitant contribue largement à l’amélioration des conditions de vie dans des zones difficiles, et nous les invitons à vivre ces moments comme un privilège donné de découvrir la culture locale. 

Photos

Infos pratiques

Hébergement :
Les logements sont parfois rustiques mais confortables, avec parfois une salle de bain partagée. L'objectif est également de plonger un peu dans le quotidien des kirghizes en restant au maximum chez l'habitant. Lorsque nous logeons dans les camps de yourtes, 2 à 3 personnes par yourte selon la taille du groupe.

Encadrement :
Michel Watelet et un Guide local /chauffeur local 

Groupe :  5 à 8 personnes

Déplacement :
vols internationaux, véhicule tout terrain de style Delica

A emporter :
Vêtements adaptés à la destination et imperméables, bonnes chaussures de marche, jumelles et longue-vue, argent liquide (monnaie local est le som, 1 som = 0,010 eur) pour les boissons et vos dépenses personnelles.

Formalités :
Les Belges sont autorisés à voyager en République kirghize sans visa, à condition que le séjour n’excède pas 60 jours sur une période de 120 jours. 
Pour les autres nationalités, voir auprès des instances compétentes.

A savoir : 
Rendez-vous : A l’aéroport de Bruxelles-National, 2h avant l’envol.
Assurances voyage, différentes formules possibles (voir bon de commande)
 

Le petit pplus
Le prix inclut également une donation à la société ornithologique KG pour aider au financement des programmes de conservations locaux, notamment du faucon sacré et du vautour égyptien.

Attention:
Les prix de ce circuit peuvent être modifiés en fonction des prix de vols que nous obtiendrons lors de votre inscription. Plus la date de départ est proche et plus il est difficile d’obtenir des tarifs intéressants. Nous vous recommandons donc de VOUS INSCRIRE LE PLUS TOT POSSIBLE afin d’éviter le désagrément d’une importante majoration de prix.